Le 8 juin dernier, la Maison des Cultures Urbaines de Ouakam a vibré au rythme de la première édition du Festival Dom Dom La. Ce festival a mis en lumière une performance exceptionnelle qui a captivé l’attention de tous les présents : une rencontre inédite entre le beatbox, la danse et le slam.
Sur la page Facebook de Jolof Beatbox, une vidéo d’une dizaine de minutes a été partagée, permettant à un public encore plus large d’apprécier ce moment unique. Sur scène, trois artistes ont fusionné leurs talents pour créer une symphonie de rythmes, de mouvements et de mots : Lamzo au beatbox, Papa Senghor à la danse et William au slam.
Lamzo, par ses percussions vocales, a posé une base rythmique solide et vibrante. Papa Senghor, avec sa maîtrise de la danse, a apporté une dimension visuelle dynamique et expressive. Quant à William, ses mots ont ajouté une profondeur émotionnelle, reliant le tout dans une narration poétique. Ensemble, ils ont démontré combien ces disciplines peuvent non seulement coexister mais aussi se sublimer mutuellement.
Cette performance illustre parfaitement l’idée que les frontières entre ces arts sont ténues. En se complétant, beatbox, danse et slam offrent une expérience sensorielle et émotionnelle enrichie, prouvant une fois de plus la vitalité et l’innovation des cultures urbaines.
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Mohamed Cinq Sylla