Chaque année, le Salon de la Lecture ( Salec), orchestré par la talentueuse journaliste et présentatrice TV, Kadiatou Kaba à travers Kadiak Communication, se transforme en une scène de promotion de la lecture. Cette fois-ci, Takana Zion, éminent représentant de la scène reggae du pays, s’est confié sur son histoire étroitement liée aux livres, révélant une profonde connexion avec la sagesse et la découverte.
Interrogé sur qu’est-ce que la lecture représentait pour lui ? L’artiste a dans sa réponse fait savoir que c’était l’épicentre de son être.
«La lecture représente tout pour moi . Parce que depuis mon jeune âge, mon maître spirituel il avait l’habitude Takana quand tu veux faire cadeau à un enfant, faut pas lui donner de bonbons, ne faut pas l’acheter des vélos, il faut lui offrir un livre . Parce que la lecture à une très grande place dans notre livre, ça nous emmène à l’encontre de notre propre personne, ça nous emmène à découvrir d’autres univers».
La question de savoir si l’auteur des albums Black Mafia trouve refuge dans la lecture obtient une réponse catégorique. Profondément enraciné dans la Bible, il reconnaît ses efforts pour comprendre des parties du Coran et d’autres textes spirituels. La lecture devient son havre, une quête incessante de connaissances. « La connaissance est un pouvoir », souligne-t-il, notant que ceux qui la possèdent dirigent le monde, laissant les ignorants errer comme des fantômes.
Takana Zion se positionne ainsi comme un émissaire de la sagesse, guidant à travers les pages des livres vers une illumination personnelle et une compréhension du monde. Son témoignage résonne comme une invitation à embrasser le pouvoir transformateur de la lecture.
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Mohamed Cinq Sylla
